J’avais prévu de partir dans la nuit de mercredi à jeudi, entre 2h et 6h du mat, afin de profiter du maximum de la journée là-bas, et éviter les affluences.
Trop fatiguer j’ai finalement pris la voiture à 8h. Dès que je suis sortie du garage, j’ai su que c’était une mauvaise idée. Je venais de réaliser qu’a cette heure là, y’a les enfants qui cours entre les trottoir pour arriver avant la sonnerie pour l’école, et tout les parents qui après avoir accompagné leur rejettons, se dirigent (en voiture évidement) à leur travail. Résultat 45 minutes pour sortir du périf (porte des lilas-porte d’Italie).
Ensuite, à partir de l’autoroute ça roulait mieux, mais je fus tout de même surprise du monde présent sur les routes en journée, nous sommes portant en semaines, et pas en période de vacances.
Alors que je venais de repartir de ma pose, il se met à pleuvoir, je met donc les essuies glaces, jusque là normal. Après le deuxième battement, l’essuie glace devant se bloque sur la position haute, alors que celui passager continuais son chemin. Celui de l’arrière y’a longtemps qu’il ne marche plus.
Et là vous vous trouvez au bout milieu de l’autoroute, en vous disant que vous ne voyez rien ni devant vous, ni derrière vous, que vous ne pouvez pas vous arrêter.
Vous n’avez plus que la vision sur la droite (ce qui n’avance pas à grand-chose). J’essaye bien sûr de garder une vitesse quand même suffisamment correcte, car trop doucement cela peut être dangereux aussi.
Comme je ne vois presque rien entre les gouttes, je loupe la première aire de repos.
Enfin j’arrive à un arrêt, il ne pleut presque plus. Le temps de laisser un message à petit cœur (qui bien sûr culpabilisera par la suite de ne pas être venu cette fois ci) pour le prévenir, la pluie a totalement arrêter, et fait place au soleil. Je profite donc de ce temps, car on ne sais jamais combien de temps cela va duré pour aller plus loin. Et de toute façon j’été tombé sur le répondeur, je ne pouvais donc rien faire de plus.
Evidement cela n’a pas durée, lorsque j’ai vu les premier gros nuage noir, j’ai préféré m’arrêter de nouveau, et j’ai bien fais car les premières goûtes sont tombé quand j’arrivais à l’aire de repos.
Je rappel petit cœur, pour qu’il m’explique ce qu’il faut démonter pour remettre cela en état de marche.
Là j’été bien contente d’avoir eu l’idée de mettre mon sac à outil devant le siège avant et pas coincé derrière les cartons (vous savez les fameuses piles de cartons qui traînais dans le salon), je n’aurai pas apprécié d’avoir été obliger de tout sortir pour récupéré une clef.
Bref, il m’explique qu’il faut ouvrir le capot, enlever le machin noir au bout, retirer deux vises, pour pouvoir passer la main en dessous (= Vous comprenez ? = ben moi c’était pareil). C’est sûr, réparer une voiture à distance c’est pas évident.
Et là pour arranger le tout … … plus de batterie…
Du coup c’est petit cœur qui doit me rappeler toutes les 10 minutes pour savoir où j’en suis.
Bref on finit tout de même par arranger la chose. Me voilà donc reparti. Et là je trouve que mon essuie glace va étrangement plus loin que la vitre. J’ai peur qu’il parte carrément, alors je l’utilise avec parcimonie. Je comprends donc que sans doute je n’ai pas assez resserré l’écrou de l’essuie glace.
Donc nouvel arrêt, pour resserrer avec une clefs pas vraiment adapter, c’est d’ailleurs pour ça que je n’avais pas réussit à assez serrez précédemment. Cette fois il pleut carrément très fort, et bien sûr je suis en dessous, puisque je resserre mon boulot. A ce moment là je remercie papa Kikoo qui grâce à son message, m’a fais penser à rajouter un pull, car la pluie c’est froid !
Mise à part ça, mon voyage c’est bien passé.
Moi qui pensé faire un tout petit apartés de cette aventure, je vois que finalement c’est un peu long comme article.